Abou Mess’aoud a dit : « Un homme des Ansar, surnommé Abou
Cho’aïb, s’adressant à un de ses esclaves qui exerçait la profession de boucher,
lui dit : - Apprête-moi un repas pour cinq convives, je souhaite convier à ma
table le Prophète pour compléter le nombre de cinq invités, car je constate à sa
physionomie qu’il endure la faim. Une fois l’invitation lancée, un homme se
mêla aux autres hôtes. – Cet homme nous a emboîté le pas, déclara alors le
Prophète, si tu acceptes qu’il se joigne à nous, fais-le, mais si tu souhaites qu’il
s’en aille, alors il partira. – Non, répondit son hôte, qu’il reste, je l’y autorise. »
rapporté par boukhari
Cho’aïb, s’adressant à un de ses esclaves qui exerçait la profession de boucher,
lui dit : - Apprête-moi un repas pour cinq convives, je souhaite convier à ma
table le Prophète pour compléter le nombre de cinq invités, car je constate à sa
physionomie qu’il endure la faim. Une fois l’invitation lancée, un homme se
mêla aux autres hôtes. – Cet homme nous a emboîté le pas, déclara alors le
Prophète, si tu acceptes qu’il se joigne à nous, fais-le, mais si tu souhaites qu’il
s’en aille, alors il partira. – Non, répondit son hôte, qu’il reste, je l’y autorise. »
rapporté par boukhari